Depuis l’introduction des vaccins à ARN messager contre le COVID-19, le débat public a été confisqué. Toute voix dissonante – y compris d’experts reconnus – a été marginalisée, censurée, voire diffamée.
Des lanceurs d’alerte ont été réduits au silence. Des médecins ont été sanctionnés pour avoir simplement interrogé le bien-fondé d’une technologie encore expérimentale.
Pourtant, la dangerosité de cette technologie commence à devenir un véritable sujet de préoccupation dans le milieu médical :
Le professeur Angus Dalgleish, professeur d’oncologie à la faculté de médecine de l’hôpital St George’s, à Londres, a récemment déclaré :
« Il n’y a plus de "si" ni de "mais". Tous les vaccins à ARN messager doivent être arrêtés et interdits immédiatement. »
« Recommander des doses de rappel, comme c’est actuellement le cas, n’est rien de moins qu’une incompétence médicale ; continuer à le faire malgré les informations ci-dessus constitue une négligence médicale pouvant entraîner une peine de prison. »
« D’autres oncologues m’ont contacté du monde entier, notamment d’Australie et des États-Unis. Le consensus est que ce phénomène ne se limite plus au mélanome, mais qu’une augmentation de l’incidence des lymphomes, leucémies et cancers du rein est observée après les injections de rappel. De plus, mes collègues spécialisés dans le cancer colorectal signalent une épidémie de cancers explosifs. »
Nous, signataires de cette pétition, demandons que soit enfin respecté ce principe fondamental de toute société libre et éclairée : le droit à une information complète, équilibrée et indépendante sur tout acte médical susceptible d'impacter notre santé.
Nous demandons, pour ce faire, la suspension immédiate des injections de vaccins à Arn messager.
Cette alerte lancée par un médecin britannique rejoint la longue liste des signaux qui n’ont pas été pris en compte par les autorités de santé :
❶ Effets secondaires rares mais graves
Myocardites et péricardites post-vaccinales, notamment chez les jeunes hommes, sont désormais reconnues par les autorités sanitaires elles-mêmes.
❷ Efficacité relative et déclin rapide dans le temps
Les vaccins ont montré une efficacité initiale, mais les études confirment une perte significative de protection au fil des mois, nécessitant des rappels fréquents.
❸ Opacité sur les données cliniques
Pfizer a voulu faire classer les données de ses essais pour 75 ans, avant qu’un juge américain n’ordonne leur publication progressive.
❹ Multiplication des témoignages de victimes
Des effets secondaires invalidants sont rapportés par des patients qui peinent à être reconnus, voire entendus.
❺ Remise en cause de la gestion de crise par des responsables politiques
En Suisse, l’ancien président de la Confédération Ueli Maurer a qualifié la pandémie de « hypnose de masse » et remis en cause les vaccins.
❻ Censure systématique du débat scientifique
Des chercheurs, médecins et journalistes ont vu leur travail supprimé des réseaux, sans débat contradictoire.
❼ Opacité totale sur les négociations entre l'UE et Pfizer
En avril 2021, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a reconnu avoir échangé des SMS personnels avec le PDG de Pfizer, Albert Bourla, dans le cadre d’un contrat massif d’achat de vaccins. Ces messages ont été demandés par des journalistes et des eurodéputés dans le cadre du droit à l’information… mais n’ont jamais été communiqués.
En mai 2025, le Tribunal de l'Union européenne a annulé la décision de la Commission européenne de refuser l'accès aux messages texte échangés entre la présidente Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer, Albert Bourla, durant les négociations pour l'achat de vaccins contre la COVID-19. Le tribunal a estimé que la Commission n'avait pas fourni d'explication crédible justifiant l'absence ou la non-conservation de ces messages, qui sont considérés comme des documents officiels relevant du droit d'accès du public.
NOUS DEMANDONS
- La suspension temporaire de l’utilisation des vaccins à ARNm, dans l’attente d’une réévaluation indépendante et transparente.
- La publication intégrale des données d’essais cliniques.
- Une reconnaissance officielle et un accompagnement des victimes.
- Le rétablissement d’un débat scientifique pluraliste, sans censure.
- Un moratoire sur les « techniques » de négociation de la Commission européenne mettant en danger la vie de dizaines de millions de citoyens
POUR LA SANTÉ, LA VÉRITÉ, LA LIBERTÉ
Nous ne sommes ni « complotistes », ni « antivax » : nous demandons simplement que les principes fondamentaux de précaution, de consentement libre et éclairé, et de transparence soient respectés.
1. "Sudden And Unexpected", Twitter/X
2. "Waning Immunity after the BNT162b2 Vaccine in Israel", The New England Journal of Medicine
3. "Vaccins : La justice américaine demande des comptes à Pfizer", Info du Jour
4. "Indemnisation victimes des vaccins contre le Covid 19", Association d'Aide aux Victimes d'Accidents Corporels (AAVAC)
5. "«Bien sûr qu'il y a eu une hystérie autour du Covid»", 24 Heures
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